Portada del sitio > Reflexiones y trabajos > L’Argentine risque une révolte sociale
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Les argentins commencent à se rendre compte à quel point pourrait s’avérer dure la gestion du président Mauricio Macri récemment élu, puisque ses premiers pas laissent augurer des pires pronostics.
Selon Carlos Andrés Ortiz, Macri « veut procéder à une importante dévaluation », chose qui a déjà relancé les prix et l’inflation [Lire : « Pain gratuit en signe révolte contre la hausse de 100 % du prix de la farine »]. De la même manière, Ortiz a assuré que la situation va empirer si l’Argentine signe les traités de libre-échange avec l’UE et les EU, puisque cela impliquera la« désindustrialisation », « étrangénéisation rapide » de l’économie et la perte de la souveraineté énergétique, entre autres choses.
Cet analyste s’est aussi montré critique sur la composition du nouveau cabinet de Macri où se trouvent « quelques personnes absolument incapables pour les fonctions auxquelles elles ont été désignées », et même quelques unes « ont été mise en examen ».
Carlos Andrés Ortiz s’est montré convaincu que d’ici un laps de 5 à 6 mois, il y aura « beaucoup d’opposition» au Gouvernement de Macri, ce qui pourrait déboucher sur une révolte sociale.
Carlos Andrés Ortiz* pour Sputnik
Sputnik. Buenos Aires, le 5 décembre 2015.
El Correo de la diaspora latinoamericaine. Paris, le 5 décembre 2015.
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