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12 de noviembre de 2007

Réflexions de Fidel :
La valeur des idées.

por Fidel Castro Ruz

 

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Le Che était un homme d’idées.
Il écouterait avec une douleur profonde les discours qu’ont été prononcés, à partir de positions traditionnelles de gauche, au Sommet ibéro-américain de Santiago du Chili.
Ceux de droite ont assumé les mêmes positions traditionnelles en faisant des concessions intelligentes à la soit disant gauche.

Il serait fier d’écouter les déclarations de plusieurs leaders révolutionnaires et courageux, indépendamment de leur expérience politique.

L’expérience est la mère des sciences et des idées.
C’est à partir des batailles livrées par une poignée de combattants cubains dans une zone de la Sierra Maestra, contre des forces extraordinairement supérieures en nombre et en armement, que le Che a élaboré les idées qu’il résumerait plus tard dans son livre « La guerre de guérilla ».

La critique de Chavez à l’Europe a été démolisseuse. L’Europe qui a justement prétendu donner des leçons de conduite au Sommet ibéro-américain,
Dans les déclarations de Daniel et de Evo, on entendait la voix de Sandino et celles des cultures millénaires de cet hémisphère.

Le discours que le président de El Salvador y a prononcé, provoque la nausée.
Le capitalisme est un système régi par des lois aveugles, destructrices et tyranniques imposées à l’espèce humaine.

Consacrer le prochain Sommet à la jeunesse ibéro américaine, dans le but de semer dans l’esprit des peuples des réflexes conditionnés, est un mélange de cynisme et de mensonges difficile à digérer,

Cuba, 10 novembre 2007

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