Portada del sitio > Nuestra América > IV Sommet des Amériques Mar del Plata, Argentine 4 et 5 novembre 2005
La Sommet des Amériques qui aura lieu à Mar del Plata le 4 et 5 novembre, est réuni sous la consigne « créer travail pour faire face à la pauvreté et fortifier la gouvernance démocratique». C’est clair, néanmoins, que rien va se concrétiser a partir d’une réunion orientée par la politique impérial des États-Unis et la présence de 34 présidents qui représentent, dans sa majorité, l’expression soumis de ces politiques dans ses pays. A cause de l’assistance de Bush, la cité va être prise, en plus, par 10 000 gardes de sécurité et contrôlée par terre, mer et par l’air.
Par l’Anti Sommet des Amériques
9 Octobre 2005
Au lexique du gouvernement Américain, principal animateur de ce Sommet, les expressions « démocratie » et effacer la pauvreté ont des significations très particulièrs. On peut calculer qu’ avec la dépense / le financement de la guerre en Irak jusqu’ici, on aurait pu garantir la scolarisation de tous les jeunes qui n’assistent pas a l’école au tour le monde, 115 millions dans le planète. Avec le seul prix d’un missile, on pourrait construire à peu prés 100 écoles dans n’importe quel pays de l’Afrique, l’Asie ou l’Amérique Latine.
Bush appelle démocratie au génocide qu’il introduit dans sa dernière aventure militaire : environ 30.000 morts dans une invasion soutenue par la mensonge des armes de destruction massive. Ça c’est la démocratie que l’armée Américain a imposé dans les prisions d’ Abu Ghraib, sur les prisonniers encapuchonnés, des câbles électriques embarrassés à ses doigts.
Avec le travail et la pauvreté il arrive quelque chose pareille. Après l’invasion, Halliburton - entreprise du vice-président des États- Unis Dick Cheny - a fait des contrats en Irak estimés en 10 mil 700 millions du dollar et que peuvent, selon certains sources, arriver à 18 millards. Malgré ça, pendant ce temps, le problème du logement dans le pays invahi est multiplié : ils manquent, aujourd’hui, 2 millions et demie demeures.
L’Amérique Latine, elle n’est plus si loin d’Irak. Ils vivent dans notre continent plus de 530 millions d’habitants. Un 35 % de la population vive au dessous la ligne de pauvreté et on trouve un milieu de 14,1 % du chômage urbain. Dans nos terres, les missiles sont remplacés par les pas moins mortifères plans économiques dessinés pour extraire les richesses et agrandir la misère. Tout ça accompagné par les permanents et systématiques extorsions des organismes internationaux de crédit.
Un des raisons pour lequel cette Sommet fut creé c’est l’intention d’impulser l’ALCA (Acuerdo de Libre Comercio de las Américas), projet qui cherche la création d’un marché commun d’Alaska jusqu’à Tierra del Fuego, et qui fait le continent devenir une grande pépinière de main d’ouvre exploité et un marché captif où placer la production des entreprises multinationaux. En plus, on conçoit nos pays a la forme d’un immense réserve de ressources naturelles a disposition du grand pays du Nord. La mise en pratique du ALCA impliquerait l’approfondization des plans économiques et politiques qu’on supporte depuis deux décades.
Il va pas être la première fois que, au nom du coopération international et la lutte contre le trafique du drogue et le terrorisme, le gouvernement des États-Unis essaye de contrôler les ressources d’un région. Si en Irak ou Afghanistan, l’objectif est le pétrole, dans le cône sud, le butin est l’Acuífero Guarani, le ressource d’eau douce plus grand du monde. On doit, bien sûr, additionner a tout ça la présence militaire au milieu d’un continent où croissantes expressions populaires anti-impérialistes inquietent les stratèges du Pentagone. À Paraguay, quelques semaines avant, on a annoncé l’arrive de 400 marines qui, en portant d’immunité diplomatique, sont cantonnés dans le petit village du frontière, Estigarribia, et ont construit une piste aérienne international.
La vie quotidienne dans nos peuples d’Amérique Latine c’est la preuve exact des conséquences de la domination du nord sur le continent du sud, mais aussi de la subordination de la plus part des gouvernements d’Amérique Latine a ces politiques.
Au contraire, la seul résistance des peuples qui mettent un frein a ces plans : les rébellions des ans dernières dans l’Argentine, Bolivie, Équateur ou Mexique, le procès du changement ouvert à Venezuela. Quelques exemples qui montrent les mobilisations populaires qui ont défié la voracité de l’Empire.
La Sommet des Amériques à Mar del Plata sera un autre épisode de cette guerre global du gouvernement de l’Amérique du Nord face a nos peuples. La présence insultant de Bush et dizaines de présidents à sa cote qui seront soumis a ses dictées destructifs. Peut être, Kirchner cherche se montrer indépendant dans le discours, mais il fait des efforts, avec ses actes, pour se consacrer avec des intérèts du gouvernement du Nord. La seul exception c’est Chavez qui pourra sortir de cette logique de soumission et réveiller des expectatifs sur qui honnêtement attend quelques geste de dignité dans le sommet.
Nous nous proposons une mission simple mais nécessaire : systématiser et répandre des informations par rapport a la Sommet des Amériques et la résistance que les peuples vont l’opposer. Nous allons répandu tous les événements qu’ils se produisent les semaines avant et on va faire une couverture, minute à minute, après la Sommet a commencé: correspondants dans la Sommet des présidents, aussi dans la Sommet des peuples, et, bien sûr, dans les mobilisations et les actions de répudiation.
Le site est le petit apport que l’équipe de Prensa de Frente, ensemble avec des journalistes et des reporters graphique indépendants, veut faire depuis le terrain de la communication.