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30 août 2007

Evo Morales dénonce les manoeuvres de destabilisation étrangère

 

Le président bolivien Evo Morales a averti certains ambassadeurs étrangers de ne pas se mêler des affaires internes de son pays tout en assurant que, depuis son arrivée au pouvoir, la Bolivie devait faire face en permanence à une contre-révolution.
"La contre-révolution a commencé deux jours après ma prise de fonction" en résistance au processus de changement", a déclaré M. Morales devant le corps diplomatique réuni dans la capitale.
Le chef de l’Etat a aussi affirmé que quelques gouverneurs de régions ne pensaient seulement qu’à la manière "de renverser cet indien".
Evo Morales a averti qu’il prendrait des mesures "radicales, (...) sans aucune crainte" contre certains ambassadeurs étrangers, s’ils continuaient à s’immiscer dans les affaires internes du pays.
Les relations entre Washington et La Paz sont fraîches depuis l’arrivée au pouvoir du président socialiste.
Mardi dernier six régions de Bolivie, sur neuf ont décidé une grève de 24 heures contre le gouvernement socialiste de M. Evo Morales, un mouvement soutenu par les partis d’opposition conservateurs , les représentants du grand patronat , qui souhaitent l’autonomie des régions les plus riches du pays
et veulent transférer la capitale du pays à Sucre ".

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