A propos !

... mais, pourquoi il pleure mon drapeau ? La diaspora argentine dans le monde a-t-elle conscience du devoir de restitution qu’elle doit à cette terre qui fut la sienne ?

Le Pays, celui des grands-parents, qui nous a permis de nous hisser jusqu’où nous sommes, est malheureusement mort avec eux. Alors, si cette Argentina là est morte ? Vive l’Argentine !

Rien ne se perd, tout ce transforme ! Les droits des uns commencent et… Tous ces principes fondateurs des Hommes en Société, nous les avons appris là bas et ils nous ont fait modifier le patrimoine génétique de notre héritage social. Nous devons restituer ce « capital social acquis ». Nous n’avons pas de « capital social héréditaire », nous sommes le premier maillon mais nous en avons pas moins de responsabilité. Participer à la nouvelle construction de notre pays est un devoir incontournable.

La diaspora argentine dans le monde, très intégrée socialement dans chacun de ses pays d’accueil, possède largement les capacités intellectuelles et matériels pour y parvenir. A-t-elle vraiment la force de caractère pour s’identifier comme argentin après avoir réussi à être franco-argentin, italo-argentin, hispano-argentin, anglo-argentin, americano-argentin ou autre ? Le saut périlleux en arrière et dans le noir n’est pas donné à tout le monde. Certes, sauf à ceux qui auront senti que cette folle invitation de l’histoire est comme un appel du large inversé. Ne laissons pas passer cette chance. Celle de participer à la reconstruction d’un monde meilleur.

Cette reconstruction se situe aujourd’hui en Argentine, sans doute demain ailleurs. Allons enfants... argentins !, argentinistes, … et d’autres nous suivront ! Nous avons tout à faire ! Soyons la dernière barricade et défendons avec acharnement et même désespérément nos lumières pour éviter l’extinction totale.