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17 de septiembre de 2007

Uribe a déjà refusé mais Chavez insiste pour rencontrer le chef des FARC en Colombie.

 

Le président vénézuélien Hugo Chavez, qui mène une médiation en vue d’un échange entre otages et guérilléros en Colombie, a insisté dimanche pour rencontrer en territoire colombien le chef de la guérilla des FARC, ce que son holomogue colombien Alvaro Uribe a déjà refusé.

Par l’Agence France-Presse

Caracas. Le dimanche 16 septembre 2007

Au cours de son émission radio-télévisée hebdomadaire «Alo, Presidente», M. Chavez a répété qu’il voulait rencontrer Manuel Marulanda, chef des Forces armées révolutionnaires de Colombie (FARC).

«C’est une nécessité pour moi de parler avec Marulanda», a déclaré M. Chavez dans son émission, à laquelle participait l’ambassadeur de Colombie au Venezuela, Fernando Marin Valencia.

«Nous n’en sommes qu’au début. Patience et encore patience, constance et encore constance, pour obtenir un accord humanitaire. (Il faut) beaucoup de compréhension. Je dois comprendre les positions de cette partie et de l’autre partie. J’ai foi dans le fait que nous allons parvenir» à un accord, a dit le président vénézuélien.

M. Chavez a été mandaté fin août pour assurer une médiation par son homologue colombien Uribe. Il veut œuvrer à un accord qui permettrait la libération de 45 otages de la guérilla marxiste des FARC, dont la Franco-Colombienne Ingrid Betancourt et trois Américains, contre celle de quelque 500 guérilléros détenus par les autorités colombiennes.

Pour la deuxième fois en deux jours, M. Chavez a estimé qu’une telle rencontre avec le chef des FARC était essentielle.

Mais M. Uribe a déclaré samedi qu’il n’acceptait pas que le président vénézuélien rencontre le chef des FARC en territoire colombien. Il est farouchement opposé à la démilitarisation d’une zone du territoire colombien qu’impliquerait une telle rencontre.

«Je ferai tout mon possible pour aider modestement à l’accord humanitaire, pour que soient libérés ceux qui doivent être libérés, pour qu’il y ait paix et union entre nous», a affirmé M. Chavez, la main levée.

«Je le jure, nous essaierons d’aider. Et au-delà de l’accord humanitaire, nous allons penser plus grand encore: à la paix. Pourquoi pas ?».

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